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 PRESENTATIONS

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MessageSujet: Re: PRESENTATIONS   PRESENTATIONS EmptyMer 6 Juil - 6:16







→ Kenneth Mickey Bleeker ←


INTRODUCING ME

Je suis né le 8 octobre 1988 à New Orléans en Louisiane, j'ai donc 23 ans. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétéro et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale moyenne, malheureusement c'est pas moi qui ai choisi cette vie. Depuis maintenant 3 ans, je suis étudiant , des fois je me demande pourquoi j'ai choisis ça mais bon j'en ai bien besoin si je veux manger. Je fais partie des étudiants en littérature, et je sais pas pourquoi mais les gens dans la rue me confondent souvent avec Matthew Gray Gubler.
MORE ABOUT MYSELF

♦ Il est très timide, il est très rare qu'il aille engager une conversation et rougit dès qu'une fille lui parle.
♦ Il est le roi des blagues qui ne font rire personne, à part lui : il rigole à ses propres blagues.
♦ Il analyse toujours tout pensant que quelques mots peuvent cacher un message, il est donc du genre à se prendre la tête pour un rien.
♦ Il est très sérieux : il fait ses devoirs à l'avance, va à tous ses cours, absorbe chacun des mots des professeurs. Attention il sort de temps à autres et il lui arrive même de faire le fou fou de boire un ou deux verres d'alcool maximum.
♦ Il n'aborde jamais une personne en premier, donc il n'est pas du genre à faire le premier pas
♦ Lorsqu'il accepte de parler à quelqu'un il peut sortir un débit de parole impressionnant ce qui le rend parfois très barbant.
♦ Il n'a eut que deux petites amies, une en primaire et une lors de sa transition collège-lycée. Le mot que vous cherchez est puceau, ce qu'il ne cache pas être.
♦ Il est très maladroitt, entre les chutes, les objets qui lui échappent des mains et les gaffes orales Kenny a le Titre de Boulet d'Or
PRESENTATIONS Boulet-d-or-2943


PRESENTATIONS 1011
→ The love Story ←

"Regardes l'intello au premier rang, quel fayot sérieux" Aaron Dickson avait parlé, tout le monde avait adoré. Aaron c'était le type d'adolescent charismatique capable de mener sa classe sans aucun soucis, il s'agissait sans doutes du garçon le plus apprécié du collège. "Mais non c'est parce que j'ai des problèmes de vue" répondit tant bien que mal Bleeker en bafouillant légèrement intimidé par la tête de sa nouvelle classe. Agé de quatorze ans, Kenny tentait tant bien que mal de se faire une place dans sa classe du collège du French Quarter, quartier de la Nouvelle Orealns. Depuis sa tendre enfance il devait lutter contre son image "d'intello" et d'enfant modèle. Il faut dire que c'était le genre d'enfant que tout parent rêve d'avoir, aimant, calme, intelligent et propre aussi. Les parents de Kenny ne l'aidaient pas dans cette tâche difficile en ventant les mérites de leur enfant auprès de toutes les familles du voisinage, ce que forcément les enfants et adolescents du quartier n'appréciaient guère. Rassurez-vous il n'était pas solitaire puisque les enfants d'une huitaine d'année le réclamaient tout le temps pour aller jouer aux Power Rangers avec eux. Voulant éviter de se retrouver dans le même lycée que ce fameux Aaron qui le victimisait chaque jours, l'humiliait bref qui lui rendait la vie impossible, Bleeker avait décidé d'aller dans un lycée éloigné de son quartier originel. Ceci lui a donc permis d'effacer l'image qu'il avait pour s'en créer une nouvelle, légèrement plus glorieuse. "Salut Kenneth, tu vas bien ?" Aundrea, la seule personne en ce monde à l'appeler par son prénom. Attiré par cette dernière le teins rouge vint s'afficher sur les joues du jeune lycéen éprit de bouffées de chaleur. "Je ... j'ai fini de faire ton devoir, tu devrai avoir un B+ comme tu le voulais et j'ai aussi imité ton écriture pour que les professeurs y croient." dit-il en bafouillant quelque peu -moins qu'avant - en lui tendant une copie bien remplie et avec une calligraphie digne d'une fille. C'était une habitude pour Kenny de faire les devoirs des autres, Mickey se sent serviable et sa naïveté l'empêche de croire que la jolie pom-pom girl se servait de lui. Bleeker était le larbin de service mais les autres lycéens semblaient l'apprécier, certains avaient même de la pitié et de la compassion pour lui. Soyons réaliste une partie de ses camarades le haïssaient. De la jalousie ? Ou de l'agacement de certaine de ses manies. L'une des pires est de se retourner et de regarder tout autour de lui, cherchant ses camarades du regard, avec un sourire narquois sur les lèvres après avoir donné une bonne réponse. Quoiqu'il en soit durant cette première année de lycée Bleeker avait plutôt une bonne réputation, du moins jusqu'à la fête de fin d'année du lycée. En cette soirée bien arrosée et à laquelle Kenny n'a pas touché à une goûte d'alcool, la douce et calme Flora était venue lui adresser la parole et était resté auprès de lui durant toute la soirée.
UC Attendez-vous à une chute
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Dernière édition par Admin le Jeu 7 Juil - 23:43, édité 13 fois
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MessageSujet: Re: PRESENTATIONS   PRESENTATIONS EmptyMer 6 Juil - 19:05

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MessageSujet: Re: PRESENTATIONS   PRESENTATIONS EmptyJeu 7 Juil - 22:37

J'ai souvent envie de demander aux femmes par quoi elles remplacent l'intelligence
Il faut de l'esprit pour bien parler, de l'intelligence suffit pour bien écouter.
Etre intelligent, c'est être méfiant, même à l'égard de soi-même.
Usez, n'abusez pas ; ni l'abstinence ni l'excès ne rendent un homme heureux.
Qu'est-ce qu'un abstinent après tout ? Un faible qui cède à la tentation de se refuser un plaisir.
Il n'y a pas de virginité qui vaille l'expérience.
L'honneur, c'est comme la virginité, ça ne sert qu'une fois.
L'avantage lorsqu'on est intelligent c'est qu'on peut faire semblant d'être con.
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MessageSujet: Re: PRESENTATIONS   PRESENTATIONS EmptySam 30 Juil - 9:45







→ Travis Woody Cartman ←


INTRODUCING ME

Je suis né(e) le 25 août 1987 à Tampa Bay, Floride, j'ai donc bientôt 24 ans. Je suis célibataire et heureux de l'être et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale pauvre, malheureusement c'est pas moi qui ai choisi cette vie. Depuis maintenant une année, j'ai deux emplois stables Animateur sous le costume de Gros Minet dans un parc d'attraction et officieusement Scénariste de films érotiques, mais bon c'est attendant de percer dans quelque chose de plus sérieux et puis au moins j'ai de quoi payer mon loyer avec ça. Je fais partie des New Yorkais, et je sais pas pourquoi mais les gens dans la rue me confondent souvent avec célébrité sur l'avatar.
MORE ABOUT MYSELF

♦ Il aime se vanter juste parce qu'il sait que ça insupporte les gens.
♦ Ce garçon est véritablement franc il dit tout ce qu'il pense aux gens et tant mieux si ça le blesse.
♦ C'est un je-m'en-foutiste professionnel. Il se fou des personnes, des conséquences de ses actes, de se faire virer.
♦ Il agit toujours d'instinct pour le meilleur et surtout pour le pire, c'est d'ailleurs le plus souvent pour ça qu'il se retrouve dans des situations cocasses.
♦Malgré qu'il soit très impulsif il s'énerve plutôt rarement.
♦ Il aime faire pleurer les filles, faire chier les gens, les torturer mentalement.
♦ Aime inventer des stratagème pour se sortir de situations ou embêter quelqu'un.
♦ Est super susceptible et boude très souvent.
♦ Sa plus grande devise est : j'aime faire chier les gens ça le purifie c'est important.
♦ Est très taquin, même s'il apprécie quelqu'un il sera obligé de la vanner c'est une marque d'affection pour lui.
♦ C'est un gros moqueur mais dans le sens où il se fou de la gueule de tout le monde.
♦ Ne peut pas passer un journée sans faire une seule connerie
♦ Aime flirter mais la plupart du temps il en reste là, il aime juste la phase de séduction en fait
♦ Déteste les filles qui sont des Miss Problèmes
♦ Part très souvent dans ses délires solos
♦ Est un véritable acteur studio, ironie bien sûr on fait pas mieux dans le genre j'en rajoute trois tonnes
♦ Il est très fidèle que ce soit en amitié ou en amour même s'il n'aime pas se caser par peur de s'ennuyer. Donc mieux vaut employer le mot loyal xD
♦ Il pense que les Princes Charmants de Disney sont des gays



PRESENTATIONS Tumblr_lnwe0gRiZP1qmn7mjo1_500
→ The love Story ←

Comme tous les soirs Dahlia était à son travail. Il faisait frais, ses collègues elles aussi avaient froid, à croire que leurs manteaux ne les réchauffaient pas. Pourtant une horde d'homme était prête à les réchauffer si elles le voulaient. Seuls quelques bruits raisonnaient ceux des talons et ceux des moteurs des voitures qui s'arrêtaient le long du trottoir. Soudain une Dodge Shadow noire s'arrêta vers Dahlia. C'était un homme qui à vu de nez approchait de la trentaine, il avait les cheveux châtains clairs et des yeux qu'on aurait pu dire d'émeraudes. La vitre de sa voiture se baissa et il s'adressa alors à la jeune femme. Cette dernière après avoir explicité son tarif et ses conditions, monta dans la voiture de ce dernier et ils partirent prêt du motel réservé à ce genre de situations. Une heure plus tard elle sortit de la chambre et rentra chez elle : c'était son dernier client. Sans le savoir elle avait en elle l'artifice qui allait faire naître en elle un embryon.

Chapitre 1 Bordel il va sortir ou quoi ?

9 mois après cette nuit qui pour cette jeune prostituée de dix-neuf ans, elle se retrouva à l'une des cliniques de Tampa Bay, sa ville d'habitation. Elle n'en voulait pas de cet enfant mais elle poussait autant qu'elle le pouvait se laissant guider par la voix de la sage femme qui était présente sur les lieux. Il était trop tard quand elle a comprit qu'elle était enceinte, il était trop tard pour faire marche arrière et avorter elle se devait de garder cet enfant. Au départ elle voulait accoucher sous X mais sa mère refusait cela, hors de question que sa fille abandonne son petit-fils. Voilà dont pourquoi elle se donnait tant de mal à faire sortir un être qu'elle ne voulait pas. Un peu plus d'une heure plus tard le nouveau-né était sortit entièrement, il avait des yeux bleus et une petite bouille adorable. Contre toute attente Dahlia a sourit en voyant cet enfant, son fils. Elle allait devoir maintenant s'occuper de lui essayer de l'élever dans le petit appartement qu'elle a et bien entendu essayer de changer de métier. Sa mère, qui ne lui adressait plus la parole jusqu'à ce qu'elle sache que sa fille était enceinte, lui passa de l'argent pour l'aider à s'en sortir.

Chapitre 2 C'est fini maintenant je suis là

Travis c'est ainsi qu'elle a décidé de le nommer. Il vécu son enfance dans ce petit appartement au cinquième étage, c'est sa voisine, une dame âgée à l'époque d'environ soixante-dix ans qui venait s'occuper de lui le soir quand sa mère partait travailler. Cette situation dura deux ans, Dahlia savait qu'elle ne serait jamais une bonne mère et c'est peut-être pour cela qu'elle était incapable de ressentir de vrais sentiments pour son fils. De plus il lui était impossible d'arrêter son travail car elle était "sous la tutelle" de son mac. Par chance ce dernier décéda dans un accident de voiture, la chance tournait enfin de son côté. Dès lors elle enchaîna les petits boulots comme serveuse dans différents cafés, restaurants ou fast food. Finalement pour elle ça n'avait pas d'importance puisque cela allait faire en sorte que son enfant puisse aller à l'école. Les années passèrent et Travis devenait de plus en plus grand. Elle ne l'avait pas vu faire ses premiers pas ni quoi que ce soit mais elle le voyait grandir et finalement c'est la seule chose importante.


Chapitre 3 Dis m'man il est où Papa ?

Et forcément comme son fils grandissait il voulait savoir la réponse à cette question durant les 7 premières années de sa vie. Il lui demandait toujours, c'est vrai après tout, quand il allait à l'école il y avait souvent ces petits jeux organisés entre père et fils et lui, il n'y participait jamais. Il était encore trop jeune pour comprendre qu'il était juste un gros accident et que son géniteur ne savait même pas qu'il existait. D'ailleurs il était même possible que Travis ait des frères et soeurs sans qu'il ne le sache. Elle se contentait de lui dire que son père avait beaucoup de travail et qu'il ne pensait jamais à donner des nouvelles. Alors Travis pensait que son pète était un ministre ou quelque chose comme ça, alors forcément il s'interrogeait sur son apparence physique, de la date de leur mariage, toutes ces questions qui devenaient de plus en plus lourdes pour sa mère. Elle savait qu'un jour ou l'autre il saurait et la blâmerait.

Chapitre 4 Plus tard je serais ...

Si il y a une chose que Travis aimait plus que tout c'était le hockey sur glace. En même temps sa ville était magnifiquement représentée par les Lightning de Tampa Bay. Il pratiquait le hockey était malgré son jeune âge la star de son équipe, le quartier aimait vanter ses exploits. Alors lors des petites exposés en classe sur ce qu'on voulait faire plus tard, Travis n'hésitait pas à livrer ses ambitions. Il voulait devenir joueur de hockey professionnels ou bien travailler dans le monde du jeu vidéo ou pleins d'autres choses encore. Et le tout faisait bien rire ses camarades, Travis pourrait être bon ça ne changeait rien au fait que sa mère était pauvre et que tout cela serait presque impossible.

Chapitre 5 La mère de Carter c'est une vraie prosituée

Et voilà que le petit bambin était en phase de devenir un adolescent il avait alors douze ans et demi et tout le monde commérait sur ce qui c'était passé la veille du 16 mai. La mère de Carter Owen a été aperçue par les parents de Samuel Jenkins en train de le faire avec le vieux Howard. Les parents de Sam avaient dit que c'était une vraie prostituée et l'enfant s'était amusé à le répéter à tout ses copains d'école dont Travis. Lorsque celui-ci rentra chez lui il se pressa de raconter - comme toujours - à sa mère ce qu'il avait apprit et tout ce qu'il avait fait. Il se mit alors à expliquer l'histoire de la mère Carter et tandis qu'il rigolait une fois l'histoire fini un malaise s'installa. Seul le petit garçon rigolait sa mère elle restait impassible, elle se sentait gênée. Finalement le soir même elle fit installer son garçon devant un épisode des Pizza Cat et commença alors à lui faire un couplet sur le fait que parfois on est obligé de faire des choses qui ne nous plaisent pas vraiment. Voyant les larmes monter aux yeux de sa mère, Travis savait bien qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas et qu'elle allait enfin lui dire la vérité. Finalement elle lui avoua qu'elle était payée pour faire l'amour à des hommes, que finalement, elle, était une vraie prostituée. Ne quittait pas l'écran des yeux il lâcha simplement : "Je suis désolé pour avoir balancé des trucs grossiers sur la mère de Carter" lorsque sa mère lui demanda de dire quelque chose. Sa mère eut alors le même sourire que les pimbêches du quartiers lorsqu'un de leur enfant marque un but, elle était fière de son fils.

Chapitre 6 T'es qu'un fils de pute

Après cette nouvelle forcément Travis n'allait plus agir de la même façon. En effet il a comprit que ça ne servait d'être le petit garçon modèle pour rendre fier sa mère puisqu'elle doit s'en foutre vu le métier qu'elle faisait, elle lui pardonnerait ses erreurs. D'autant plus que Travis sentait qu'il y avait une sorte de démon qui veillait en lui et qui demandait qu'à sortir. Même si les Cartman ne l'ont dit à personne d'anciens clients se sont vite empressés de répandre la nouvelle qu'il y avait une pute dans le quartier. Très vite tous les camarades de Travis étaient au courant, chacun pouffait en le voyant passer, comméraient derrière son dos sans pour autant lui dire quoique ce soit. Lorsqu'il avait presque 14 ans et demi, Travis qui a déjà alors un caractère bien trempé, s'était encore foutu sur la gueule avec cet enfoiré d'Aaron Kennedy, le fils du bijoutier du coin, un vrai bourge. Durant leur altercation Aaron lui lança alors cette insulte, sûr de le mettre mal à l'aise et de faire faire fermer sa gueule à Travis. Pourtant ce dernier lui rigola au nez avant de répondre simplement "Ouais je sais et alors tu l'as testée ?". Dès le départ il avait accepté l'ancien métier de sa mère et au final il a réussit à en rigoler puisque de toute façon il ne pouvait pas nier l'évidence. Dans un sens il avait confirmé ce qui à l'origine n'était qu'une rumeur et finalement presque aucun de ses camarades ne voulait lui parler, mais qu'est-ce qu'il s'en foutait.

Chapitre 7Je crois que j'ai un serpent dans ma culotte
17 ANS. C'était enfin sa dernière année de lycée à Tampa Bay et avouons-le Travis ne savait pas ce qu'il allait faire plus tard. Il séchait énormément les cours, ne révisait jamais et se retrouvait quand même avec des notes au dessus de la moyenne. Finalement il avait fait un choix, il avait économisé, travaillé pendant son temps libre, ses vacances pour pouvoir se payer ses études à l'université de ses rêves, pas sûr que tout ça soit suffisant. Quoiqu'il en soit il avait une sacrée réputation dans son bahut, on l'appelait "le Connard". Quand Travis s'ennuie il est obligé de faire chier quelqu'un ou de faire ou dire une connerie et du coup ses "victimes" lui ont forgée une réputation. Certains l'aimaient, d'autres le détestaient et dans les deux cas il les emmerdait. Il était minuit passé, Travis était à la fête de fin d'année de cet enfoiré de Aaron. L'alcool et le pelotage coulaient à flot et lui était était avachi -vodka à la main - sur un canapé à côté d'un couple qui étaient à la limite de leur préliminaires. On pouvait dire qu'il se faisait chier, du moins jusqu'à ce qu'une minette vint lui adresser la parole. Elle n'était pas du coin, uniquement de passage et était venue taxer le verre de Travis, uniquement parce qu'il s'était amusé à planquer les autres verres. Une conversation débuta entre eux, il commença par la rembarrer - comme il sait si bien le faire - et contrairement aux autres filles qu'il connait elle ne se laissa pas faire et lui envoya à son tour sur les roses. Par leur pics, leurs taquineries et leurs sous-entendus, la conversation fut des plus originales. "Je hais ce type sérieux" lâcha-t-elle en fixant le fameux Aaron, après que Travis ait approuvé, elle se révéla être aussi diabolique que lui. "Sa fête pue à mort tu sais ce qu'on devrait faire?" Il tourna la tête vers elle intrigué avec un sourire machiavélique sur les lèvres. "Chier dans sa chambre et celles de ses parents?" Elle lâcha un rire avant de lui donner une tape amicale sur l'épaule. "Non, pas quelque chose d'aussi extrême, je pensais juste à appeler les flics en disant qu'il y avait de la coke dans la baraque, mais c'était une bonne idée" En fait ils ne savaient pas s'il y avait vraiment de la drogue dans la baraque mais c'était tellement bon pour eux de voir les flics débarquer, retourner la maison et gâcher la fête de l'autre. Travis et la fille finirent par errer dans les rues du quartier continuant leur conversation, elle marchant droit devant elle, lui marchant à reculons. Au bout d'un certain temps elle vint lui déposer un baiser sur les lèvres avant de l'attirer dans une maison typiquement américaine. Elle expliqua brièvement que c'était chez son oncle chez qui elle était en vacances et que ces derniers étaient parti à une soirée dans le quartier. Visitant la maison elle se colla contre un des éléments de cuisine ironisant sur le prénom de
Woody
. "Je crois que j'ai un serpent dans ma culotte" Après avoir ri, le jeune homme vint se coller à elle sachant que ça allait être sa première nuit de sexe. Il a beau être un bâtard il est plutôt respectueux en ce qui concerne le sexe avec les filles, sûrement à cause de la façon dont il est né. Quoiqu'il en soit cette fille de passage embarqua la virginité de Travis avec elle, mais aussi son prénom.

Chapitre 8GO GATORS !
"Tu sais je suis le quaterback de l'équipe" Vêtu aux couleurs de l'University Of Florida, c'est-à-dire de bleu et d'orange, Travis se tenait face à un fille plutôt mignonne. Ses mots étaient des mensonges, bien entendu il était dans l'équipe de Football USn mais dans l'équipe de réserve. Si on le trouvait plutôt cool dans son petit lycée de quartier, ses frères de la confrérie le prenaient plus pour un boulet qu'autre chose. La plupart d'entre eux l'évitent et lui foutent des vents, mais cela n'empêchait pas Travis de se croire aussi cool que ses frères. En effet Travis a toujours été dans son monde et donc dans son délire personnel. Il était donc très sûr de lui, se croyant au top du top et super cool. Le problème c'est qu'il ne se rendait pas compte de la niaiserie dont il fait preuve. lors les grands exploits sur le terrain qu'il raconte aux filles sont ceux qu'il s'imagine dans sa tête pour le jour où il rentrera sur le terrain. Quoiqu'il en soit il était payé pour enfiler le costume d'Albert l'Alligator, mascotte de l'université. Malgré de nombreux petits boulots, des notes correctes, les études de communication, marketing, publicité, art journalistique et autres cursus qu'il avait choisis durent prendre fin. Faute de moyen et de bourse il ne put continuer, et ne put non plus se résoudre à quitter l'université de ses rêves. D'autant plus qu'il ne voulait pas décevoir sa mère, oui il ne l'admettra jamais, mais c'est un fils à maman. Un sac à dos sur le dos et un autre avec ses vêtements à la main il décida de partir vers le nord de la Floride, direction la grande ville de Jacksonville pour y trouver du travail afin de pouvoir un jour continuer ses études. Sans le savoir ça allait l'une des dernières fois où il serait dans on état natal et ça allait être aussi le début d'un grand voyage.

Chapitre 9Vous êtes renvoyé

Le caractère bien trempé, blagueur et impulsif de Travis aura eut raison de son emploi de gardien de zoo à Jacksonville, en effet menacer un enfant de le mettre dans la cage aux lions n'était pas forcément une bonne idée. Quoiqu'il en soit après deux autres emplois perdus, il continua toujours vers le nord, se faisant constamment viré dans chacune des villes où il allait. Pensant que la Floride n'était pas l'état qu'il lui fallait il se dirigea vers l'état le plus proche via l'auto-stop. Et c'est ainsi que débuta le grand voyage de Travis. En effet il resta un mois en Georgie, enchainant les villes et les emplois avant de partir vers l'Alabama où il resta aussi un mois. Se rendant compte de cette certaine constance il se lança alors un propre défit. Du haut de ses dix neuf ans, il allait faire le tour des Etats-Unis, parcourant chaque Etats et en ayant un emploi différent dans chaque ville qu'il découvrait. Il resta donc un mois dans chaque états cumulant environ une dizaine d'emplois à chaque fois. On peut donc dire qu'il avait un CV plutôt chargé et diversifié, entre employé pour Coca-Cola à Atlanta, artiste de rue en Louisianne, fermier au Texas, agent de douane au Nouveau Mexique, professeur de surf et Pluto à Disneyland en Californie, croupier à Las Vegas, il avait une expérience professionnelle très importante même si dans la plupart des cas il se faisait renvoyé, faut dire que Travis est incapable de garder un emploi. Il était donc partit pour 50 mois de voyage en auto-stoppeur.

Chapitre 10Tout voyage à une fin

Environ 44 mois de voyages plus tard soit presque quatre ans, Woddy était dans la voiture d'une étudiante New Yorkaise de passage à Buffalo qui avait accepté de l'emmener dans la ville la plus célèbre du monde. Sans le savoir c'était à New York que son voyage allait prendre fin. En effet comme à son habitude il joua légèrement les manipulateurs sentant qu'il plaisait à la fille. Il réussit donc à la convaincre le temps qu'il trouve un endroit où loger et un emploi. Attention il n'était en aucun cas question de coucher, Travis n'était pas un Toy Boy, il ne se prenait pas pour gigolo et ne suivait donc pas le chemin de sa mère, il avait sa dignité. C'était donc il y a un peu plus d'un an, il commença par être barman près d'une université et fut renvoyé pour avoir fait un "mélange spécial" imbuvable à un mari infidèle et enchaina par la suite les emplois. Un jour par hasard il croisa un producteur de film érotique - sans savoir que s'en était un - et donna son avis sur ce qu'il faudrait pour faire un bon film. Et croyez-le ou non mais l'homme lui proposa alors de scénariser ses films pour un revenu plutôt intéressant. Depuis donc une année Travis est payé pour écrire des histoires cochonnes, et ce n'est pas le seul emploi stable qu'il a réussit à garder. En effet malgré son expérience de Pluto ratée à Disneyland pour laquelle il a été renvoyé pour avoir couru derrière un gosse qui lui a foutu un coup de pied. Une vidéo avait d'ailleurs était prise et avait connu un certain succès sur le net. Bref Travis a donc revêtu un costume pour un parc d'attraction, rien à voir avec Disney cette fois puisqu'il est l'adorable Gros Minet avec qui les enfants aiment danser. Voyant enfin une stabilité, aimant New York et après presque quatre années de voyage, Travis a décidé d'arrêter son périple. Après plus de 44 cartes postales envoyées à sa mère, après 32142 heures à parcourir les Etats-Unis, le jeune homme s'est enfin posé, décidé à faire chier les New-yorkais.


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MessageSujet: Re: PRESENTATIONS   PRESENTATIONS EmptyMar 23 Aoû - 16:47

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MessageSujet: Re: PRESENTATIONS   PRESENTATIONS EmptySam 22 Oct - 13:14

Hunter Nelson Cooper
STATUT (en cours - terminé)

crunchy information
Je suis né le 17 juillet 1985 à Westlake, Tx, j'ai donc 26 ans. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale pauvre, malheureusement c'est pas moi qui ai choisi cette vie. Depuis le début de l'année scolaire, je suis professeur de collège, des fois je me demande pourquoi j'ai choisis ça mais bon j'en ai bien besoin si je veux manger. Je fais partie des NY, et je sais pas pourquoi mais les gens dans la rue me confondent souvent avec Chace Crawford.

more about me
♦️ MALADROIT : Il n'est jamais à l'abri de tomber de l'estrade de sa classe ou de dire une chose maladroite à un enfant. Le jeune homme fait des maladresses aussi bien physiques - gamelles, portes en plein visages - qu'orales comme faire des blagues sur une personne connue et appréciée de son interlocuteur.
♦️ BLAGUEUR : Hunter aime faire des blagues - même si elles sont le plus souvent sorties de leur contexte. Ses blagues ne font rire que lui mais - me direz-vous - ça fait toujours une personne. Comme ses colocataires, il lui arrive d'être méchamment taquin. bien qu'il préfère le ton ironique et du sarcasme que celui de la taquinerie. Il faut savoir qu'il est très moqueur, comme une femme qui critique la tenue vestimentaire des autres, il critique autant qu'une mégère. Hunter est aussi le genre d'homme qui prend le premier avril plus au sérieux que le 4 juillet. Bien qu'il n'en soit plus au stade du coussin péteur il aime faire des farces qui le rendent parfois très simplet.
♦️ EXTRAVERTI : Le texan n'a pas peur de faire le premier que ce soit dans ses relations amoureuses ou amical. Par chez lui - au Texas - le petit nombre d'habitants dans les villages incite les villageois à tous se parler entre eux. C'est naturellement qu'il acquit cette qualité. Il n'hésitera pas à venir vous faire la conversation ou à vous tenir compagnie si le coeur lui en dit. Le professeur n'a donc pas peur du regard des autres et par conséquent du ridicule - une chance vu les gaffes qu'il fait. Il n'hésite pas à compromettre son image pour amuser les gens et plus souvent pour leur remonter le moral.
♦️ AFFECTUEUX : Un homme capable d'autant d'affection se fait immédiatement mettre dans la catégorie des gays. Hunter aime les contacts physique dénués de désirs. Pour les hommes cela sera de simples mains sur l'épaules, tapes amicales et - pour mettre notamment Paxton mal à l'aise - des petites tapes sur le fessier. Pour les femmes il y a de tout. Bisous sur le front, la joue, le nez, la nuque ; câlins en tout genre ; accolades ; se mettre sur leur genoux et j'en passe. Ce côté tactile aura eut raison de plusieurs - possibles - relations. Les femmes pensaient qu'il était gay et le voyaient en bon copain.
♦️ NATUREL : A la grande différence de colocataire et ami, Hunter n'essaie jamais de se faire passer pour quelqu'un d'autre ou donner une image de lui qui ne lui ressemble pas. Alors, quand il va aborder une fille il ira le plus naturellement possible - ce qui explique un nombre important de râteaux. Qu'à cela ne tienne, il préfère entretenir des relations avec des personnes qui l'apprécient pour ce qu'il est plutôt que pour quelqu'un qu'il n'est pas. Il est aussi l'un des rares hommes à ne pas être dégouté lorsqu'une femme parle de ses règles : c'est une chose naturelle - comme l'érection. En gros il ne se prend jamais la tête et se comporte comme son feeling l'entend.
♦️ SENTIMENTAL : Oui Hunter a pleuré quand Mufasa est mort, a eut les larmes aux yeux quand Sacha a voulu abandonner Pikachu, et pleuré de joie quand cette pétasse de Kenza s'est fait virée du loft ; et il n'a pas peur de le dire. Le jeune professeur se laisse très souvent guider par ses émotions et les films et les romans lui ont inculqué un certain côté romantique - parfois bien enfoui. Et en bon sentimental il entretient précieusement ses albums photos qui ne contiennent pas forcément que des moments importants de sa vie et celles de ses amis. En effet le texan a la fâcheuse manie de prendre des photos sur tout et rien.
♦️ GEEK: Mesdemoiselles, quand on vous dit ce mot, arrêtez d’imaginer un garçon avec une paire de lunettes avec une monture en écaille et des boutons pleins le visag. Hunter est geek et le revendique
vive la rime Il aime les jeux vidéos, les dessins animés, les films d’actions, Marvel et DC sont sa religion. Il joue plus de trente heures par semaine –puisqu’il joue aux consoles portables pendant les cours. Malgré cela il ne joue pas tant que ça en ligne. En effet, c’est un véritable collectionneur et nostalgique. Il possède pas moins de six consoles différentes dont des antiquités qui sont parfaites pour des soirées entre amis. Rien de mieux qu’une partie de Gamecube ou Megadrive dans un jeu à deux. Pour vous rassurer, il n'est pas non plus le genre de personne à dire à sa copine : « Chérie, sors ton port USB, j'arrive avec mon périphérique » Arrow
♦️ IMPRÉVISIBLE: Ayant toujours rentré dans le rang des garçons bien comme il faut à cause du métier de son père, le texan a développé une attitude plutôt imprévisible ces dernières années. En effet il ne semble plus apte à faire ce que l’on attend de lui et se comporte de plus en plus comme bon lui semble. Un jour il sera blanc et l’autre noir. On pourrait dire qu’il a un certain côté lunatique mais qui n’est pas non plus alarmant, il sait juste surprendre quand il le faut. De plus tout texan a un caractère bien trempé en lui et Hunter n'échappe pas à cette règle. Il peut lui arriver de s'énerver comme il faut et de menacer les gens de mort. Il ne faut pas oublier qu'au Texas les armes sont une chose anodine. Il a en sa possession un permis de port d'arme et donc une arme. Il a été champion de tir dans son adolescence, mieux vaut éviter de l'embêter.
♦️ COLLANT: Une fois que Hunter apprécie réellement une personne il a du mal à la lâcher et veut passer beaucoup de temps avec elle. Cela lui a valut plus d’une fois l’adjectif de collant. De plus il est sans cesse en train d’essayer d’obtenir des informations de ses amis et de se faire mettre dans la confidence. Cette manie qu’il a de toujours rester auprès des personnes qui lui sont chères est apparu au début de l’adolescence de sa sœur, période où il a aussi développé un côté protecteur.
Pierre-Antoine ϟ PAT


ÂGE - 21 ans
PAYS/RÉGIONS - France
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM - Par Paxton - version ultra courte où je zappe le fait qu'il m'a supplié pour que je vienne Arrow
TES IMPRESSIONS - Toujours les mêmes que la dernière fois :=D:
CRÉDIT(S) - Lj & Electric
STAR SUR L'AVATAR - Chace Crawford
UN DERNIER MOT - Mais vous savez moi je ne crois pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise situation… Moi si je devais résumer ma vie aujourd’hui, avec vous, je dirai que c’est d’abord des rencontres, des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face, je dirais, le miroir qui vous aide à avancer. Alors ça n’est pas mon cas comme je le disais là puisque moi au contraire j’ai pu et je dis merci à la vie, je lui dis merci et je chante la vie, je danse la vie, je ne suis qu’Amour! Et finalement quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent : “Mais comment fais tu pour avoir cette humanité?” et bien je leur répond très simplement, je leur dis que c’est ce goût de l’Amour, ce goût donc qui m’a poussé aujourd’hui à entreprendre une construction mécanique mais demain qui sait, peut-être simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi.




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MessageSujet: Re: PRESENTATIONS   PRESENTATIONS EmptySam 22 Oct - 13:15

Texas The Lone Star State
]« Sheriff ! Un appel de l’hopital c’est votre femme » Trey Cooper le sheriff du village de Webberville revenait d’une brève patrouille. Il s’empressa d’aller dans son bureau et attrapa farouchement le combiné. La nouvelle venait de tomber : son premier enfant allait arriver plus tôt que prévu. « Toby occupes-toi de tout pendant mon absence » Sortant des locaux il se hâta de démarrer sa voiture de fonction et de partir dans la ville la plus proche rejoindre sa femme et l’enfant naissant. « C’est un petit garçon Sheriff Cooper » La sage femme attendait le représentant de la loi dans les couloirs. Trey jubilait intérieurement. Il aurait un héritier, un petit garçon qui fera perdurer le nom de sa famille. En ce jour d’été naquit le petit Hunter Neslon Cooper, un texan qui saura se montrer éveillé et coupera plus d'une fois le sommeil de ses parents. Il fut rapidement ramené à Webberville un petit village texan de trois cents habitants. Chaque nouveau-né devenait le sujet de ragots pendant deux semaines, jusqu’à ce qu’un jeune du village se fasse arrêter pour vol à l’étalage –ou autre petit délit du genre. Dans un village d’une densité aussi faible chaque faits et gestes sont épiés et commérés et la naissance du fils du sheriff n’y échappait pas. « C’est le fils de Clayton, elle a fait ça dans sa ferme quand l’sheriff était pô là. Les françaises ont le feu au derrière, je l'ai vu dans Moulin Rouge. » Ce genre de rumeurs absurdes circulaient de bon train. Lorsqu’une française débarque dans une petite communauté cela est toujours mal vu, malgré le fait que Océane s’était entièrement intégrée. Trey et elle s’étaient rencontrés il y a six ans de cela. La jeune française débarqua aux Etats-Unis dans le cadre d’un échange. Elle fut accueillie par la famille Anderson, voisins des Cooper. Hunter pourrait vous conter toute l’histoire de leur rencontre mais, pour résumer, ils se sont progressivement épris l’un de l’autre. A la fin de l’échange –soit environ un an et demi plus tard – Trey –dans un élan romantique – demanda Océane en fiançailles afin qu’elle reste dans le pays. Et à peine un mois plus tard ils organisèrent un mariage express et néanmoins réussit. Enfin...bref, Hunter hérita donc d'un nom adulé par ses voisins paysans. On l'éleva donc dans ce petit patelin comme un parfait petit texan : ses grands-parents d'un village à proximité lui apprirent à monter un cheval, à nouer une corde pour en faire un parfait lasso. Son oncle et sa tante - qui habitaient la maison juste en face - l'emmenaient tous les week-end à l'église pour en faire un parfait protestant ; Son père mettait de la musique country à fond quand il promenait son fils dans son 4x4 de patrouille. La vie d'un texan est en soit complètement différente de celle que peut avoir un New-Yorkais. Là-bas on ne jure pas pour les brunchs mais, on adule les barbecues ; on ne commence pas par apprendre aux enfants comment lasser ses chaussures mais, comment tenir une arme ; les jeunes ne s'éclatent pas en boîte de nuit mais, dans un saloon pour faire du rodéo sur un taureau mécanique ; on n'est pas serveur pour avoir un emploi saisonnier mais, on travaille dans les récoltes de coton. Vous trouvez cela restreint et ennuyeux ? Imaginez ce que c'est quand on est le fils du sherrif. Hunter n'oubliera jamais le jour où il avait poussé un camarade dans la cour de récréation et lui avait cassée le bras quand il le surpris en train de voler un pot de colle. Âgé de tout juste cinq ans il eut son premier grand sermon. « Junior c'est horrible ce que t'as fait. Son bras est cassé, t'imagines ce que les gens vont dire au village ? Ecoutes, papa c'est papa le sheriff, c'est à lui de faire régner la loi compris ? Toi il faut juste que tu sois un gentil garçon et que tu évites de t'attirer les ennuis, tu n'voudrais pas qu'on enlève la superbe voiture de papa hein ? » L'enfant fit alors un non de la tête sec, les virées dans le 4x4 de son père étaient son loisir préféré. « Alors, finis les bagarres, les gros mots en classe. Pour la peine tu aideras le petit Hoyt et tu porteras ses affaires d'ac o d'ac ? » Il donna un petit coup sur le bord avant du Stetson de l'enfant, lui mettant dès son jeune âge une pression au niveau de ses responsabilités. L'ironie du sort est que le petit Hoyt sera son meilleur ami pendant plusieurs années. Vous vous demandez peut-être ce qu'il y à dire sur l'enfance d'un enfant du Texas ? La réponse est : pas grand-chose. Les enfants allaient dans des écoles des villes voisines, s'amusaient à provoquer des vipères avec des bouts de bois Dédicace Penny et PaxIl mena donc une enfance tranquille. Hunter était un élève studieux et qui était soucieux de réussir afin de rendre fière sa mère. D'ailleurs il a appris très tôt à parler le français - la langue maternelle de sa mère - afin de tenir de vraies conversations avec sa famille en France. à L'aube de ses sept ans la famille accueillie un nouveau membre. Ils lui offrirent donc une petite soeur qui héritera du nom de Madison - plus communément appelée Maddie par son ainé. La première année de sa naissance le petit texan restait légèrement en retrait. La venue soudaine d'un nouveau membre l'effrayait un peu. Puis une année et demie plus tard, il était toujours derrière elle, l'empêchant de manger des verres de terre, de donner des gifles au chien, de mettre le chat dans la machine à laver. Il devint très protecteur avec elle et -forcément -très proche. C'est de l'amour naissant avec sa soeur que naquit son envie de s'occuper d'autres enfants. Plus tard il se décidera à les aider à se développer en devant professeur des écoles . Dès son enfance Hunter développa un goût prononcé pour l'univers des comics. La preuve en est qu'il voulait sans cesse aller à l'école en costume de Superman. Jeux vidéos, produits dérivés, vêtements en tout genre, tous les cadeaux qu'on lui faisait tournaient autour de cela.

Rien de pire que l'automne ça me rend mélancolique
« Le quart arrière Cooper » La voix grave et rauque du coach Forman se faisait entendre sur tout le terrain. La petite ville de Westlake -ville voisine où se trouvait toutes les institutions -était en effervescence pendant un match inter-lycée. Le football américain a toujours été un sport très populaire au Texas et pour beaucoup d'étudiants pratiquer ce sport était l'une des seules solutions pour obtenir une bourse. C'est naturellement qu'Hunter se mit à pratiquer ce sport. Etant donné que ce genre de bourse est beaucoup prisé dans cet Etat, il avait prévu un plan de secours. Responsable depuis son plus jeune âge il avait commencé à épargner pour s'assurer d'aller dans l'enseignement supérieur. Or le fait était là : après presque toute une adolescence à économiser son argent, il n'avait toujours pas les ressources nécessaires. « Bon alors Cooper tu roules ou tu roules pas ? » Hoyt se dressait impatiemment face à son ami d'enfance. Les deux texans avaient toujours fait la paire mais, Hunter se montrait de plus en plus distant depuis que ce dernier fréquentait ceux qui étaient considérés comme la racaille du village. En effet l'aîné Cooper trouvait que son ami subissait leur mauvaise influence et cela s'est confirmé lorsqu'il surpris Hoyt à organiser une partie de poker dans son sous-sol. Hunter fut plus que surpris et prêt à les dénoncer mais, il avait toujours eu une chance de cocu et se prêta au jeu le temps d'une soirée. Il remporta pas moins de deux cents dollars une somme assez conséquente pour lui. Cette petite partie devint alors hebdomadaire et finit par s'organiser chez Hunter. Ce dernier montait de véritables petites parties de poker en cachette afin de continuer à épargner pour ses études. Six mois après le début de ce stratagème une jolie tête blonde non inconnue d'un village voisin apparut un beau soir. Elle s'appelait Autumn et ce que l'on pouvait dire d'elle c'est qu'elle ne ressemblait en rien aux filles de Webberville. Elle était championne de tir, un concours annuel proposant plusieurs catégories selon l'âge. Et Autumn fut celle qui s'empara de la première place qu'Hunter pouvait prétendre mériter. Une fois qu'elle eut posé le pied dans le sous-sol les protestations des hommes présents se firent entendre : selon eux ce club clandestin ne pouvait pas accueillir de femmes, elles parlaient trop. Responsable de l'organisation et aussi parce que c'était chez lui Hunter l'invita à jouer et elle les pluma tous. « Et bah dites donc un fils de sheriff qui fait dans l'illégalité, j'aurais tout vu. » Elle avait ce sourire malicieux sur les lèvres alors qu'il la raccompagnait vers la sortie. Suspicieux Hunter laissa couler un doux silence. « Je me demande ce que dirais ton père s'il apprenait ce que tu faisais » Elle avait posté ses mains derrière le dos et se dandinait en se pinçant les lèvres pour ne pas sourire. «Non, non c'est bon ! Tu veux quoi ? Boudiou ! » Elle tendit fermement une main et exposa ses désirs. « Je veux 50% de ce que tu gagnes pour leur entrée » Il fronça instinctivement les sourcils, de quoi est-ce qu'elle parlait ? « Hein quoi ? Je n'fais pas payer l'entrée, ça serait illégal ! » Elle coinça un bout de peau de la joue d'Hunter entre son pouce et son index et secoua légèrement la tête de ce dernier. « Et bien maintenant si gros nigaud ! Imagine un peu la thune qu'on pourrait se faire. A moins que tu n'préfères que Papa Cooper apprenne que son fils-fils vende la drogue dans son sous-sol et tripote une fille sans son consentement ... » Un nouveau froncement de sourcil il ne faisait rien de tout ce qu'elle disait. « Mais boudiou tu parles de quoi encore ?! Je n'ai jamais [...] » Elle saisit rapidement la main d'Hunter et la posa sur ses fesses avant de lui donner une gifle non méritée. « Alors, c'est une affaire qui roule ?! » Voilà qu'elle lui faisait des yeux de chapoté maintenant. Il roula des yeux et secoua en cercle la tête. Il répondit d'un air résigné : « C'est bon ça roule » Autumn lui fit un grand sourire et déposa un baiser à l'endroit exact où elle lui avait mis une gifle. C'est ainsi qu'Hunter tourna ces petites parties de poker en véritable casino clandestin. Pendant que sa mère travaillait de nuit au bar dans lequel elle était cogérante ; et que son père travaillait de nuit au commissariat ; Hunter couchait sa petite soeur à vingt-trois heures et donnait un signal aux joueurs pour qu'ils rentrent. Le succès fut immédiat et les bénéfices s'accumulaient : bourse ou non il pourrait aller à l'université. Très vite Hunter prit goût aux jeux et en devint addictif. Il avait toujours eu un goût prononcé pour les jeux -quel qu'ils soient : jeux de sociétés ou jeux vidéos -et y jouait sans relâche. En soit cela ne posait pas de problème sauf que dans ce cas-ci il s'agissait d'argent et plus cela allait plus il en perdait. C'est Autumn qui vint à son secours en organisant des parties truquées où ils se partageaient le butin. Vous devez sûrement être en train de vous imaginer un dénouement romantique à leur histoire mais, que nenni ! Depuis deux ans Hunter sortait avec la baby-sitter de sa soeur Kimmy et la fille au prénom de saison était 'son meilleur ami'. Tout garçon a dans sa vie un garçon avec qu'il fait les quatre cents coups, un avec qui il s'attire des ennuis et fait des choses qui ne sont pas permises. Pour Hunter c'était une fille et elle s'appelait Autumn. Bien qu'elle avait un côté garçon-manqué très prononcé, elle avait sa part de féminité qu'elle transmit inconsciemment à Hunter. Cette façon qu'elle avait de toujours le câliner, de critiquer toutes les pimbêches qui essayaient de prendre un look du Nord. Quand il parle de cette dernière c'est toujours avec une certaine nostalgie bien qu'elle ne lui ait causé plus d'emmerdes qu'autre chose. Six mois avant qu'Hunter n'obtienne son diplôme Trey découvrit le poteau rose de l'histoire en rentrant un soir plus tôt que prévu. « Seigneur Jésus Marie Joseph, c'est quoi ce bordel ?! » Son père virait au rouge quand il descendit les trois dernières marches du sous-sol surprenant une petite bande autour d'une table. « Dégagez tous !!! Rory, Kent, Ashton et tout le reste ! Le premier que je vois s'approcher de chez moi je le plombe c'est clair ? » La mentalité texane était telle qu'on pouvait tirer sur une personne qui marchait sur notre pelouse sans notre accord. Il saisit fermement le bras de Hoyt et fouilla la poche arrière. « C'est un joint ça ? T'approche plus jamais de mon fils compris p'tit merdeux ? » Depuis une année Trey avait développé une certaine haine envers Hoyt et ses déboires qui faisaient le tour du village. Ne restait plus qu'Autumn et Hunter. Le fils baissait les yeux pour éviter le regard du père, terrifié de sa réaction. S'ensuit alors une engueulade interminable -puisqu'on ne pouvait pas appeler ça autrement. Trey était en train d'achever son fils avec le pouvoir des mots lorsque soudain : « Arrêtez Monsieur Cooper ! C'est bon ne vous en prenez pas à lui. C'était mon idée tout ça. » Hunter accusait toutes les charges sur lui afin d'éviter le plus d'ennuis possibles à Autumn mais, elle en avait décidé autrement. Trey lança un regard suspect à son fils avant de reposer les yeux sur la jeune fille. « C'est tout ma faute. Je lui ai fait du chantage pour qu'il accepte. J'ai pris des photos compromettante de lui et ensuite j'ai [...] » Trey un peu désappointé la coupa. « C'est bon j'veux pas en savoir plus. Sors de chez moi et cela va de soit que je n'veux plus t'y voir et que je vais appeler tes parents » La jeune fille baissa la tête et opina avec cette dernière. Elle caressa amicalement le bras de son ami lui adressant un « bon courage » dans un murmure. Hunter la regarda partir, il la regarda pour la dernière fois. Hunter fut privé de sortie pendant les six mois restants de sa scolarité, devait faire du bénévolat dans les champs et donner une partie de l'argent gagnée pour la municipalité afin d'aider la ville à se reconstruire. Ce furent six longs mois de solitude et d’acharnement pour se trouver une université peu coûteuse mais, qui lui permettrait d'atteindre son ambition de devenir professeur des écoles.

Mais où est Batman? Il est à la maison,il lave des collants
Huit mois s'écoulèrent depuis cet incident. Hunter était sur la route de New York. Il avait emprunté la camionnette de son père, avait chaleureusement embrassé sa petite soeur et sa mère et était parti pour le nord. Il se doutait très bien que pour lui il allait y avoir un choc des cultures. En début de soirée -sa pochette avec tous ses papiers nécessaires - il pénétra dans le hall d'administration afin qu'on lui attribue une chambre. Il put alors assister à un échange bien étrange entre une personne de l'administration et un gringalet un brin étrange. « Bon écoutez je vais pas me taper ce cul graisseux ambulant pendant toute une année. Ce gros tas transpire tellement que je vais être obligé de mettre des éponges sur les murs. Ecoutez Mademoiselle je suis sûr qu'une belle femme comme vous doit sûrement être pressée d'aller faire tomber tous les mecs à ses pieds non ? » La femme était rousse, avait des lunettes trop grandes qui ne la mettaient pas du tout en valeur et devait sans doutes approcher la quarantaine. Elle eut un rire mielleux que font certaines femmes quand on leur fait un compliment. Elle glissa quelques mots au garçon qui scruta alors le hall du regard. Un garçon était replié sur lui-même en se penchant machinalement de bas en haut et en se parlant à lui-même ; un autre enlevait des envahisseurs de son nez ; une des autres personnes présentes portait un pantalon trois fois trop court pour lui ; et ceci est une liste non exhaustive. « Hey toi le bûcheron ramène tes billes par ici ! » Il lui fit signe d'approcher. Hunter regarda de droite à gauche, il était bel et bien le seul à porter une chemise à carreaux. Hunter le rejoignit d'un pas curieux et, arrivé à sa hauteur voulut clarifier les choses : « Je n' suis pas bûcheron c'est juste une [...] » Son premier contact à New York le coupa aussi sec. « Ouais c'est bien on s'en fout tu viens d'où ? » Hunter haussa lentement les sourcils ne voyant pas où il voulait en venir. « Texas ! Une petite ville appelée Webberville [...] » Il se fit à nouveau couper la parole mais, cette fois l'homme qui abordait un t-shirt avec le logo de Batman semblait intéressé. « T'as déjà vu Chuck Norris ? Non je demande parce que tu vois c'est mon idole, genre t'as déjà vu quelqu'un se ramener par derrière et foutre un coup de pied de malade avec autant de classe ?! Il semblait très sérieux dans ce qu'il disait mais, aussi complètement atteint. Ce stéréotype amusa Hunter qui tout sourire utilisa le ton de l'humour. « Personnellement je ne l'ai pas rencontré. Mais, j'ai un cousin éloigné qui est parrain d'un de ses petits-enfants » Dire qu'il pensait que l'étudiant comprendrait que c'était une blague. Cela a eu tout l'effet inverse. Ce dernier ouvrit la bouche comme si elle allait tomber de sa mâchoire. « Bordel c'est un truc de malade ! Tu me présenteras ton cousin hein ?! Bon écoutes Clark Kent, j'ai l'honneur de t'annoncer que tu as le privilège, que dis-je, l'immense honneur de pouvoir partager ma chambre. » Ce garçon-là était plus que bizarre et dans d'autres circonstances Cooper l'aurait sûrement snobé mais, il y avait quelque chose chez lui qui l'amusait. Hunter opina et s'ensuit une étape administrative et on lui confia ses clés. « Bon ! Et bien je vais décharger mes affaires et m'installer. » Hunter avait prit cet air désintéressé qui était clairement un appel à l'aide. « Ah ouais ?! Cool pour toi, bon bah bonne chance Smallville, moi je vais me prendre une cuite au bar là-bas. » A ce moment précis le texan se demandait si son nouveau colocataire était con où s'il en faisait exprès. Quand il eut fini de s'installer seul il décida d'aller dans ledit bar évoqué par son colocataire. Le bar était plein à craquer. Au loin il pouvait apercevoir un siège de libre face au comptoir. Ce qui le fit hésiter à y aller c'est qu'il se trouvait à côté d'une fille et aborder une fille de façon amicale est de plus en plus difficile de nos jours. D'un pas timide il s'approcha d'elle et demanda : " Cette place est libre ? " Il s'assit sans le consentement de la demoiselle. "Oui il y a quelqu'un" répondit assez sèchement la fille en question. Dans toute la splendeur de son humour, Hunter sortit une phrase devenu culte entre son colocataire et lui : "Boudiou il doit vraiment être petit ". Il se leva légèrement son tabouret en regardant derrière lui comme pour vérifier s'il y avait quelqu'un. La fille roula des yeux et embarqua son verre avec elle. Trois applaudissement exagérés très théâtralisés survinrent derrière lui. Hunter se retourna pour voir Batman, qui avait étrangement mit des lunettes. Il s'approcha tout aussi théâtralement de lui avant de s'assoir à côté de lui faisant signe au barman de lui servir deux verres. "Alors ça mon pote c'est la phrase la plus bidon que j'ai jamais entendu. Avec ça tu vas toutes les faire fuir. Et surtout c'est quoi ça Boudiou ?!" C'était certain que les expressions de son petit patelin ne seraient pas populaires à New York. « C'est une expression de part chez moi. By the way je m'appelle Hunter partenaire ! » Il tendit chaleureusement une main à son colocataire. Ce dernier se lécha littéralement la main avant de serrer la sienne. Dégelasse ! Il lui manquait une case. « Cartman, Batman ou Dieu pour les filles qui sont passées dans mon plumard. » Paxton passa le reste de la soirée à se moquer de tout ce qu'il pouvait au sujet d'Hunter et ce dernier essaya de lui faire comprendre que Superman venait du Kansas et non du Texas. Quand ils trinquèrent la première fois ils venaient de sceller une grande histoire d'amitié. Trois mois après leur début de colocation Hunter se fit larguer par Kimmy sa petite amie depuis plus de deux ans. « Tu chouines là ? » Une fois de plus Paxton était entré sans frapper et venait de surprendre Kenneth anéanti. « Elle vient de me quitter, le jour de nos presque trois ans » Vulnérable il eut les larmes aux yeux, ce qui lui valut l'adjectif de lopette de la part de Paxton, qui avait promis de ne répéter ce triste passage à personne d'autre. «Viens cowboy on va à la pêche à la moule ça va te changer les idées» Il ne fallait pas s'attendre à une seule once de compassion de la part de son ami qui attendait le célibat d'Hunter avec la plus grande impatience afin de lui transmettre « son savoir ». Ainsi débuta l'apprentissage de Hunter en matière de femmes, le tout sous la tutelle du grand Paxton ou le-garçon-qui-croit-tout-savoir-sur-tout. Les deux universitaires passèrent quatre années mouvementées où le texan fut embarqué dans les projets loufoques de Paxton lui valant plusieurs ennuis mais, qu'il ne regrettera jamais. Grâce à Cartman il oublia toutes les responsabilités que son père lui mettait sous le dos et profita presque enfant de l'enfance inconsciente qu'il voulait tant. Il ne faut pas s'étonner si Cooper atteint un âge mental d'un adolescent quand il est en compagnie de Paxton.
Au terme de ces quatre années l'évidence était telle qu'ils se sentaient obligés de renouveler leur colocation et se cherchèrent un appartement. Du moins c'est ainsi que cela était prévu. « Hey je suis à Manhattan ça fait quoi ... 20 minutes que je t'attends , t'es où là ?! » Hunter avait son téléphone collé à son oreille. Paxton daignait enfin répondre après six appels. « Attends je peux pas te parler pour le moment, je suis avec une première année chaude comme la braise. T'es plus doué que moi pour ça Smallville. Oh bordel ! A tout à l'heure. » Et il raccrocha laissant Hunter face à ce qui allait devenir leur futur immeuble. Il entra dans un appartement tout jaune canari qui se mit à l'éblouir. Cette couleur lui rappelait étrangement le Texas et -à ce moment précis -il sut que c'était l'appartement qu'il leur fallait. Des couples et d'autres personnes étaient aussi présentes alors, Hunter se dirigea vers l'agent pour conclure l'offre. « Je le prends ! » Une femme qui semblait avoir des origines asiatiques était face à l'agent tandis qu'il n'était qu'à quelques centimètres d'elles. « Attendez ! Il est pour moi ! Je veux dire ça ne peut pas se régler comme ça, en deux secondes ?! » La femme chargée de la vente de l'appartement donna une feuille à la nouvelle acheteuse et elle lui répondit : « Bienvenue à Manhattan ! Pour vivre ici il faut être rapide. » Les gens du Nord ne cesseront jamais de le surprendre surtout ces fous de new-yorkais. Voulant montrer qu'il avait du cran il suivit cette dernière et tenta de la convaincre. . « Attendez il faut vraiment que je trouve un appartement ! Vous avez peut-être quelque chose d'autre à me montrer ?! A cet instant, la femme vit marquer P.I.G.E.O.N sur le front du texan. Elle se retourna avec un sourire malicieux : « Et bien j'ai effectivement quelque chose dans cet immeuble qui n'est pas encore sur le marché. » Hunter eut un grand sourire d'enfant sur les lèvres, cette fois-ci il n'allait pas laisser passer sa chance. « Et il est comme celui-ci ? » Elle continua ce qui s'avèrera être du baratin. « Il est identique à celui-ci et il est encore plus haut donc c'est mieux, et en plus la vue et sexy. Toujours comme un enfant le crédule qu'il est, eut les yeux qui s'arrondirent. « Nom d'une petite panouille ! Et je peux le visiter ?! » Elle grimaça l'air de dire que c'était impossible. Elle termina donc son petit stratagème. « Comme je vous l'ai dit ce n'est pas possible, il n'est pas encore sur le marché. Il faudra attendre demain où j'organise une journée portes ouvertes comme ici et vous avez bien vu à la vitesse où [...] Hunter n'en pouvait plus, il allait éclater et se sentit obligé de s'écrier : « Je le prends ! » Elle eut cet énorme sourire qu'il n'oubliera jamais. Il lui fit donc un chèque pour régler les deux mois de cautions. Dans la soirée Paxton et lui montèrent les trois étages interminables avec en main des cartons contenant uniquement le strict nécessaire. Hunter souleva le tapis et y prit la clé comme l'arnaqueuse le lui avait indiqué. « Alors tu es prêt à voir le premier QG de la Ligue des Justiciers ?!» Hunter avait dit cela avec un air presque niais tellement il souriait et était heureux. Il tourna enfin la clé et eut un cri de stupeur en voyant un parquet complètement amoché, une matelas qui vagabondait au milieu de qui semblait être le salon ; en voyant un seau retenir toutes les gouttes qui s'échappaient du plafond. Insouciant il loupa les huit marches placées sur le côté qu'il fallait descendre. Le texan se prit donc une sacrée gamelle, il devait sûrement y avoir une rambarde à l'origine. « Putain c'est quoi ce taudis on dirait plutôt un repère de méchant, putain c'est un rat là ? » Hunter se releva immédiatement en lâchant un cri. Le rire de Paxton lui fit comprendre que tout cela était des foutaises. « Je comprends pas elle avait dit qu'il était comme l'autre ! Boudiou Cartman on doit quitter notre chambre universitaire dans trois semaines ! On n'peut pas vivre dans ce fion de vache ! » Paxton semblait plus préoccupé par la fameuse vue sexy. Il tira donc ce qui semblait être un rideau pour finalement voir un couple de personnes âgées nudistes. Devant la mine paniquée de Cooper, son colocataire se retourna abordant un air de commandant de l'armée. « Pas la peine de paniquer ! Regardes il suffit juste de refaire deux ou trois trucs et cet appartement sera comme neuf. Paxton posa une main sur une de ses hanches et s'accouda à un mur avec l'autre. La paroi du mur en question s'effondra. Cartman releva la tête avec un air déterminé, le même que l'on peut voir dans les teen movies quand les protagonistes indiquent le moment où ils vont contre-attaquer contre leur ennemi. Imaginez alors une musique entrainante pour les semaines intenses où le minimum vital fut aménagé. Quelques mois plus tard ils avaient abattu quelques murs. Leur appartement était devenu un loft avec un parquet tout neuf, des murs colorés et plaqués de posters à l'effigie de leurs héros : Batman, Captain America, Superman et, autres personnages issus des comics, dessin animés ou séries cultes pour eux. L'appartement miteux était devenu une vraie tanière de super-héros. L'un de leurs premiers soirs dans leur appartement de jeunes adultes, ils se rendirent dans leur pub préféré. C'était un Irish Pub du nom de MacCarthy’s fréquenté par les habitants du quartier et dans lequel les deux anciens étudiants avaient pris pour habitude d'y passer leurs soirées.

Ce fut la première fois que je rencontrais un kikoo et c'était pas mal du tout
Presque huit ans après sa rencontre avec Cartman, Hunter devenait de plus en plus américain. Une année après qu'Hunter ait obtenu son diplôme à la NYDS il fut surveillant dans un collège de Manhattan, ceci lui était nécessaire pour pouvoir devenir professeur des écoles. A la fin de ce qui pourrait être considéré comme un stage il atteignit enfin son rêve en devenant professeur des écoles. Le texan avait une grande stabilité bien que ses relations amoureuses n'étaient pas vraiment fructueuses. Son épanouissement au travail fut chamboulé lorsqu'il rencontra la jeune et fraîche Penny Rosewell il y a quelques mois de cela. Hunter avait emmené ses élèves à la fête foraine pour qu'ils fassent une sortie éducative tout en s'amusant. Afin que cette sortie puisse avoir lieu, l'instituteur dût remplacer un forain au stand de chamboule-tout. Une chose en entrainant une autre le texan se battit contre un motard. La jeune Rosewell vint à son secours. Cette bagarre devant les enfants ne resta pas sans conséquences. Hunter perdit son emploi mais, gagna une amie. Un collège du Bronx -quartier peu réputé -lui proposa un emploi pour s'occuper d'une classe qui est en français l'équivalant de la cinquième. Ne pouvant pas se permettre d'être au chômage et ayant engagé un pari avec Paxton il accepta -à contrecœur -l'offre devenant ainsi professeur de collège. Le pari en question est un pari annuel qui a lieu avec son colocataire. En effet face à la grossièreté de celui-ci et aux blagues plus que vaseuses du professeur, le texan a organisé un système de pot. Trois pots sont mis en évidence dans leur loft. Un réservé aux grossièretés, un aux obscénités et un aux blagues et aux jeux de mots nuls. Chaque fois que l'un d'entre eux fait l'une de ces choses il doit déposer un billet d'un dollar dans le pot qui convient. Vers la fin de l'été ils se lancent un pari mutuel afin de savoir qui remportera l'intégralité des revenus de chaque pot. De plus ce n'est pas un simple pari : c'est un pari baffe. Le gagnant aura la possibilité de gifler le perdant cinq fois dans l'année jusqu'à la fin du prochain pari. Il reste d'ailleurs deux baffes qu'Hunter peut mettre à Paxton à tout moment. Les paris respectifs de l'année 2011 sont : pour Paxton une abstinence totale digne de 40 jours et 40 nuits pendant un minimum de trois mois ; pour Hunter l'impossibilité catégorique de dire non à quoique ce soit, comme le film du même nom il doit être un Yes Man. Un appartement à Manhattan n'est pas forcément donné et avec la crise économique qui a sévit sur le secteur de l'immobilier les deux justiciers durent envisager l'hypothèse de faire embarquer une nouvelle personne dans leur vaisseau. Ils passèrent une annonce : en vain. Tous les prétendants n'étaient pas à leur goût. Certaines critiquaient le stormtrooper grandeur nature que le professeur avait acheté à son colocataire, d'autres la décoration et certains ne correspondaient pas, tout simplement. Puis un jour l'évidence lui apparut sous les yeux. Vous vous rappelez de la fameuse Penny qui fut son alliée pendant un combat ? Cette demoiselle peu ordinaire et Hunter étaient de très bons amis -c'était aussi le cas avec Paxton mais, il ne voudrait sûrement pas l'admettre. L'étudiante passait le plus clair de son temps chez les deux jeunes adultes à tel point qu'on pouvait presque dire qu'elle vivait chez eux. Un soir -lors d'une soirée Wii -Hunter lui proposa de venir -officiellement -vivre une grande aventure avec eux. Bien entendu elle accepta et depuis un peu moins de deux mois elle fait officiellement partie de leur famille. Le texan en a fait du chemin depuis sa petite ville natale de Webberville. Il se sentait enfin libre de faire ce qu'il voulait, il s'était trouvé deux grands amis qui valaient largement tous ceux qu'il avait pu rencontrer et il avait atteint son ambition mais, se retrouvait avec un emploi qui le démotivait. En parlant de son travail il ne faut pas croire que Cooper y met autant de coeur que lorsqu'il était avec des enfants. Chargé de leur apprendre leur langue maternelle et étant supposé leur faire découvrir les joies de la littérature, le professeur en faisait tout autrement. Ses deux colocataires lui avaient ouvert les yeux. Ces élèves n'étaient pas à un moment décisif de leur vie et qu'il fasse bien ou non son travail n'aurait pas forcément de répercutions. A la rentrée –son premier jour –il leur mit un film. Pareil pour le second, le troisième, le quatrième et ainsi de suite. Pendant ce temps il peut jouer à la PSP pendant qu’ils regardent –par exemple – l’interprétation cinématographique d’Autant en emporte le vent. Une fois de plus il s'est dénué de toute responsabilité sans pour autant mettre en jeu l'éducation de ces jeunes.



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MessageSujet: Re: PRESENTATIONS   PRESENTATIONS EmptySam 22 Oct - 14:17

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WYLWOOD, Bastrop Independent School District.
Jollyville
Lakeway
Jonestown
Rollingwood
Lockhart
Round Rock, GRANDE VILLE
San Leanna, 380 hbts
Volente, " "
Webberville, 330
Westlake, 700, Walnut Grove Elementary School, Exemplary ; Keller High School, Exemplary

______________________________
Casino illégaux
Fort taux de protestants
Economie basée sur l'élevage
Récolte de coton
Musique country
Rodéo
Soul food : st une spécialité de la communauté afro-américaine à base de friture accompagnée de riz et de sauce piquante
Tradition barbecue
Tex-Mex
Amour du football US _ Houston Texas, / Dallas Cowboy
Baseball, golf,

_________________
Avery
Cooper
Clyde
Clifford
Garrett
Hoyt
Kent
Marshall
Preston
Randall
Toby
Travis
Trever
Trey
Wayne
Jayden
Zachary
Hunter
Braxton
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Wallace
Harper
Tanner
Dean
Ashton
Duke
__________________________________
idée
idée
Bad Teacher
Yes Man



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MessageSujet: Re: PRESENTATIONS   PRESENTATIONS EmptyMar 25 Oct - 17:04

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<blockquote><br><img src="img" alt="" style="margin-right: 5px; margin-bottom: 1px; border: 1px solid #couleur; padding: 1px;" align="left" width="200"><div style="line-height: 10px; font-size: 12px; text-align: justify;"><i> le rêve est simple, le plaisir est délicieux, et deux fois plus de plaisir, c'est encore mieux. la douleur est insupportable. et à nouveau une vie sans douleur. mais la réalité est bien différente. la réalité, c'est que le douleur est là pour nous dire quelque chose. il y a peu de grand plaisir qui ne nous cause pas de maux d'estomac. et c'est peut être bien comme ça. peut être que certains rêves, doivent rester des rêves. tout simplement.</i><br></font></div></blockquote>
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MessageSujet: Re: PRESENTATIONS   PRESENTATIONS EmptyMar 28 Aoû - 20:32


Et me revoilà à me présenter, bordel ça faisait un bail ! Je viens d'un petit bled paumé du Texas, son nom on s'en fout : c'est le trou du cul du monde c'est tout ce qu'il y a à retenir. Mon père c'était le sheriff du village il savait se faire respecter et personne ne le faisait chier. Maintenant c'est un vieux retraité qui passe sa vie devant ESPN. Le vieux était content d'avoir un garçon car comme ça il pourrait faire perdurer notre nom dans l'histoire et patati et patata. Non mais que des conneries ! Quel gosse aurait envie de porter le nom Dickman ?! Quant à ma mère tout le monde disait qu'elle était une sale catin. Yep les vieux ne disent pas «pute» dans mon village. Au Texas on est genre super croyant et les vieux ont des fourches dans le cul. Tout ça parce qu'elle était française c'est bon les nanas ne sont pas toutes comme dans Moulin Rouge. Et comme si ça ne suffisait pas de se taper un nom de merde ils m'ont donné un prénom à chier. Ah je n'ai pas précisé que Chuck n'était que mon second prénom et Ace un nom d’emprunt ? Bon et ben maintenant on peut considérer comme fait ! Et pour ce qui est de mon prénom vous pouvez toujours aller :caca: pour le connaitre. Comme dirait Franklin : enfin ... bref ! Ma famille a essayé de faire de moi un mini-pécor. Ils m'ont appris à monter à cheval alors que j'étais monté comme un étalon, à nouer une corde pour faire un lasso, à l'âge de 6 ans j'ai touché mon premier pistolet : un 9 millimètres. Le plus mauvais souvenir de mon enfance je crois que c'est lorsque je devais aller à la messe, ils voulaient faire de moi un petit protestant. Vous devez sûrement avoir de la pitié pour moi mais, ne vous en faites pas tous les autres gamins du coin ont subi cet espèce de bizutage. Quant à mon meilleur souvenir ... quand mon père m'emmenait en patrouille et qu'il faisait péter la chanson Me And Jesus de Tom Hall et j'avoue je la chantais à pleins poumons :tropnul: Je vois tous déjà en train de vous foutre de ma gueule ! C'est sûr c'est pas comme à LA ou NY où on se fait des brunchs, on bourre la gueule dans une boîte huppée et où on est serveur pour gagner du blé. Nan ! Nous on jure par les barbecues, d'ailleurs on m'appelait le roi de la saucisse là-bas ( :strange: ), on faisait les fifous dans des saloons et le plus beau gosse c'était celui qui réussissait à rester le plus longtemps possible sur le taureau mécanique. Vous trouvez ça chiant ? Imaginez ce que c'est quand vous êtes le rejeton du sheriff ! Vous pouvez même pas faire de connerie ! Pour vous dire quand je volais un pot de colle j'avais le droit aux sermons de mon père du genre « Tu sais P'pa il représente l'autorité dans la ville ! 'Faut que tu sois un gentil garçon sinon ils vont enlever la voiture de Papa ! » Putain la menace du 4x4 elle marchait à chaque fois celle-là ! En même temps j'avais l'impression d'être un Boss quand j'étais assis sur le siège du mort. Quand j'y repense je me faisais bien chier quand j'étais gosse à part faire le caïd en provocant des vipères avec un bout de bois je faisais pas grand chose. Et puis quand j'ai eu sept balais mes parents ont remis le couvert en me faisant une petite soeur. Millie. Ce n'est que son diminutif car elle aussi a été accoutré d'un prénom de merde : Mildred. Non je n'déconne pas ça existe vraiment. Je crois que ça avait un rapport avec la religion. De toute façon c'était ma grand-mère paternelle qui choisissait les prénoms, la vieille bique comme je disais gosse. Elle est morte sur le trône, rest in pisse Mamie. :rip:


Enfin ... bref ! Mes parents m'ont élevé comme n'importe quel texan. J'ai pratiqué plusieurs sports basket, hockey, baseball je me suis finalement concentré sur le football US. Ma seule motivation était principalement l'obtention d'une bourse. Ben ouais je n'étais pas une tête alors je n'pouvais pas compter sur mes notes. Certes je n'étais pas une tête mais je voulais aller à l'université : hors de question de finir comme les autres pécors du village à travailler dans un ferme, je voyais pour moi un avenir beaucoup plus brillant : genre PDG ou reporter et pourquoi pas futur Batman dans les prochains films. Bon vous vous en doutez Nolan n'a pas voulu de moi, et tant mieux je n'aurais pas eu à m'affliger la mort de Marion Cotillard en direct. J'ai donc commencé à épargner, bon là aussi c'est un bien grand mot vu que je passais mon temps à dépenser mon fric dans des jeux-vidéos et dans du matos informatique. J'avais donc prévu un plan C, comme Casino, illégal bien entendu. C'est mon poto Hoyt qui m'a donné l'idée quand il m'a demandé si j'étais de la partie pour un strip-poker avec les cheerleaders du lycée. Ouais aux yeux des coincés du village j'étais devenu un vilain garçon, mon père lui il pensait que c'était la « racaille » avec laquelle je trainais qui m'influençait, sauf que la « racaille » c'était moi.


Ma bande et moi avons commencé à organiser des parties de poker en toute égalité dans mon sous-sol. Pendant genre six mois je menais la vie tranquille en me faisant une bête d'argent de poche , je faisais payer l'entrée et de ce fait mon business était devenu illégal. En fait tout allait bien jusqu'à ce qu'une nana du compté voisin vienne foutre sa merde. Son nom ? McNibard ! C'était son surnom mais on s'en fout ! Je l'ai rencontré à un concours de tir elle m'a chouré ma première place, elle avait sucé l'un des organisateurs pour que je me retrouve avec un flingue défectueux. Elle ne l'a jamais admis, mais je n'suis pas con je l'ai deviné tout seul. Genre je rage, j'ai été vainqueur toutes les autres années, alors faire de la charité à une gonzesse qui tire comme un manche - et qui en suce - c'est trois fois rien. En plus de ça elle avait osé ramener ses miches dans notre club clandestin : je n'vous dis pas la gueule que nous avons tiré en voyant la sienne. C'était un truc de mec et même si elle avait un prénom masculin et qu'elle était plate, elle n'était pas la bienvenue ! « Juste une partie ! En plus je ne sais pas jouer c'est pour apprendre ! J'ai de l'argent en plus ! » Elle nous avait balancé une putain de liasse de billet dans la gueule on allait pas refuser de se faire de l'argent facile ! Manque de chance elle nous a tous plumé. A la suite de cette soirée cette biatch a commencé à me faire du chantage genre : « Oh le fils du sheriff qui fait dans l’illégalité : je me demande ce que ton père en penserait ... » Elle était là avec son sourire mesquin, ses mains derrière le dos en se dandinant et en me regardant du coin de l'oeil. Oh je l'aurais défoncé et dans tous les sens du terme. « Balance, combien ?! » C'était le genre de meuf avec qui on ne pouvait que parler chiffres. Sa réponse était cinquante pour cent, la moitié rien que ça. « Va te faire foutre ! » Elle était guedin je suis trop radin pour partager ! « Avec plaisir Chuckie mais je n'suis pas sûre que t'aies l'artillerie pour ça. » Putain ce que je déteste qu'on m'appelle comme ça ! « Désolé McNibard mais je roule en solo pas besoin d'associé ! » Elle pouffa à son surnom, je reste convaincue qu'elle voulait gagner ma sympathie. Elle coincé un morceau de ma joue entre ses doigts et me secoua brusquement la tête avec. « Et ben maintenant si tête de bite ! Sauf si tu veux que Papa-Gland deale de la coke ou a ouvert un réseau de prostitution. Et en plus de ça il pelote des nanas sans leur consentement. » Je fronçais les sourcils tandis qu'elle m'attrapait la main pour venir la poser sur son 'énorme' cul ! Ensuite elle me donna un coup de pied en plein dans le zboub. « Bon alors Mini-Gland ça roule ?! » Elle venait de passer de Kung-fu Panda au Chat Potté, bitch please ! Résigné je secouais la tête en cercle après avoir roulé des yeux. « Ça marche ! » Autant vous dire que c'était à contre-coeur. Elle embrassa les doigts de sa main droite qu'elle vint ensuite poser à l'endroit où elle m'avait frappé. Là elle me tenait littéralement par les couilles. Finalement McNibard se rendit utile en usant de ses charmes pour attirer plus de monde et pour ramener ses potes biatch pour des parties de strip-poker. Autant vous dire que les petits puceaux étaient au rendez-vous ou garde-à-vous ; un peu des deux pour dire vrai. Ensuite on a commencé à organiser des parties truquées. Je n'aime pas cheater d'habitude mais j'avais perdu gros, j'ai toujours été accro aux jeux - quels qu'ils soient - et m'a dépendance me conduisait à la ruine et la pouffiasse est venue à mon secours mais il n'faut pas rêver elle me taxait la moitié pour ça aussi. Au final Miss Boobs était devenue ma meilleure pote même si je devais supporter son côté câlin, l'entendre critiquer les nanas qui essayaient d'avoir un look de l'Ouest. Je crois même qu'elle m'a refilé ces aspects là de sa personnalité. Enfin ... bref on avait projeté de monter aussi secrètement une école de tricheurs. Ah oui parce qu'elle était originaire du Nevada avant de venir au Texas ! Mais bon, ça n'a pas pu se faire ! «22 v'là le sheriff ! » Ma petite sœur venait de parler dans son talkie-walkie. Je lui filais un petit peu d'argent de poche histoire d'acheter son silence et qu'elle surveille si l'un des parents rentrait plus tôt que prévu. Et là le padre venait tout juste de rentrer. Malgré les efforts de Millie il était parvenu jusqu'au sous-sol et alors qu'il aurait dû nous trouver tous à moitié nus il ne trouva qu'un ami d'enfance et moi à moitié à poil. Nous avions fait semblant d'être pris sur le fait, c'était une idée pourrie de McNibard mais il faut avouer que ça avait marché. Alors qu'il l'avait renvoyé chez lui on était monté dans ma chambre pour avoir une discussion, pendant ce temps Millie aida les autres qui s'étaient planqués à sortir. Et là j'ai eu le droit à la pire conversation de toute ma vie, c'était pire que lorsque ma mère m'a fait un cours d'éducation sexuelle avec un concombre comme accessoire. :peur:

Après ça on a arrêté notre mini casino surtout que la remise des diplômes approchait. Et je suis allé dans une université de Californie où j'ai suivit des cours d'art, d'informatique, de codage, de marketing et tout ce que j'aimais bien en fait ! Là-bas, il y avait un système Greek avec les confréries et tout le bazar. J'ai été un bizut des Zeta pendant deux ans, enfin c'est le temps qu'il m'a fallu pour comprendre que ça n'durait pas aussi longtemps normalement. Et vous n'pouvez pas vous imaginer ce qu'ils m'ont fait faire pendant ces deux années ce qui est resté dans les anales c'est lorsque j'ai dû me déguiser en pénis super-héros. Son nom ? Dickman, ils n'ont pas été chercher très loin. Enfin ... bref je n'ai jamais été un membre à part entière de la confrérie puisque ces derniers m'ont défié de participer à l’émission Big Brother (équivalent français : Loft Story). Je suis un grand joueur et ne pas relever de défis c'est comme jouer à Dead Rising sans tuer de zombies avec un gode ! En 2005 j'ai donc été candidat de la sixième édition de BB et j'en ai été vainqueur. Pourtant j'étais le plus détesté dans la maison, on me trouvait irrespectueux à l'extérieur et j'ai causé pas mal de problèmes à la production notamment avec CSA. Je me suis surtout fait remarquer pour avoir chier dans le lit d'un candidat parce qu'elle m'avait foutu les nerfs ou pour avoir fait bouffer à une candidate un steak sur lequel j'avais frotté mon braquemart - et aussi pour mes nombreux clash. Au bout des trois mois de jeux j'ai remporté la coquette somme de 500.000 $ . Si ma mère avait monté un véritable comité de soutien mon père lui avait juste trop la tehon ! Après ma sortie je n'ai pas repris mes études. En effet on m'avait fait plusieurs propositions, je suis passé dans pas mal de talk-show qui voulaient me clasher sur mon comportement et tout ce qui va avec. Tout allait plutôt bien jusqu'à ce qu'un producteur de musique m'aborde pour que je fasse un single. Et c'était comment dire ... ça n'a pas fait un flop, au contraire ça s'est plutôt bien vendu *ou pas* et j'ai eu beaucoup de fans *genre* Pour le coup je m'étais donné un nom d'artiste : Ace parce que ça veut dire as et que j'en suis un tout simplement. "Façon Ace" (clin d’œil aux Tribal King) a été vu plus de 7 million de fois sur Youtube et la barre des dislike et aussi grande que mon pénis c'est-à-dire énorme : les gens rageaient de ma classe. J'avais une veste de jogging rouge trop swag et tout, le clip c'était du bon, je faisais des envieux ! Je ne considère pas cet épisode comme un échec mais j'ai préféré faire un break * tout le monde se foutait de sa gueule* C'est trop triste j'ai dû laisser des millions de fans derrière moi. J'avais pensé à tout sauf à l'après succès qui a duré genre un an et demi. Je suis retourné au Texas à mes 22 ans et j'y ai terminé mes études dans une fac. Ah oui je n'ai pas précisé que j'avais claqué toute ma thune dans mon clip ? Ça coûte cher les biatch(s) en arrière-plan :aa:

Je pensais qu'au bout de deux ans les gens m'auraient oublié mais il faut croire que ma belle gueule est inoubliable. Autrement dit je n'trouvais pas de travail. Ma mère m'a pistonné dans un centre commercial de Westlake (Texas) pour que je sois agent de sécurité. Je m'imaginais déjà courir après les voleurs et me payer une classe internationale pour rendre super fier mon père. En fait je restais dans une toute petite loge avec des pervers pour regarder les écrans de surveillance en cas de comportements suspects. Le problème c'est que ça manquait tellement d'action que je voyais des voleurs partout. Un peu moins d'un an plus tard je me suis fait virer, je crois que mon employeur m'a gardé aussi longtemps pour ne pas vexer ma mère. A 23 ans passés j'ai commencé à ne rien foutre de ma vie : je logeais chez mes parents, sortais ma soeur : j'étais limite son voiturier. Et puis mon père lassé des commérages sur ma gueule qui nuisaient à son image m'a annoncé une bonne nouvelle, pour lui : son pote avec qui il avait fait ses années de services dans la Marine et qui était désormais responsable d'un casino avait accepté de me prendre chez lui. J'ai donc fait mes bagages pour Vegas et j'ai rencontré le bonhomme pas farouche le mec ! J'ai commencé comme voiturier : pas mal pour découvrir Vegas, son univers , connaître du monde et aussi tout ce qui se passe. Au bout de genre un an un miracle se produisit. Alors que j'allais prendre une pause non permise pour aller fumer ma clope un mec me fonça dedans comme un bourrin. On s'est tous deux retrouvés au sol et sans que je n'comprenne rien le Big Boss s'était penché au-dessus de moi et tenait des propos que je ne comprenais pas : « Bien joué fiston il allait se faire la malle avec un bon pactole ! » Merde alors c'est pas tous les jours qu'on reçoit un compliment du Big B. Au final ils ont cru que j'avais couru derrière le gars pour l'arrêter et ça m'a valu une promotion : je bossais dans la surveillance et la sécurité. Désormais j'en suis même le responsable, faut dire que je m'entends bien avec le patron : il me raconte pleins d'histoires sur mon père et j'ai du dossier sur le sheriff ! Les employés les plus rageux pensent que je suis pistonné, mais j'ai arrêté plusieurs coups montés, des voleurs et tout ça. Bon c'est vrai qu'au début on me voyait beaucoup glander dans le casino, profiter des piscines et j'en passe mais c'était de l'infiltration :sifle: Maintenant je suis aussi balèze et classe que Danny McCoy, enfin avec moi ça ferait McCouilles ::O:
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